La chienne attendait la nuit. On lui avait dit souvent que cet endroit était magique, qu'à la tombée du soir on n'y voyait guère de la brume. Cet instant n'était donc pas habituel, pour des lieux qui à longueur de journée sont cachés par cette épaisse texture. Princesse tenait à admirer ce moment de ses propres yeux. Car, comme dit-on ; voir pour croire. Voilà la belle en route qui cherche une place où « s'extasier » devant le spectacle donné. Dommage, la petite Athyla n'avait pas pensé à partager les tickets avec un mâle. Ça n'était pas son problème, Madame voulait simplement assister au phénomène nocturne. Elle avait du mal à avancer, ce brouillard qui lui rendait la vue impossible. Mais la jeune demoiselle avait certain don pour se repérer. Une boussole en elle, en quelque sorte. C'est arrivée au sommet d'une colline qu'Athyla s'allongea sur le sol, lui rosé de bruine. En posant sa tête sur les fines pattes d'athlète qu'elle pouvait posséder, notre grande fi-fille souffla. Elle aimait vaguement attendre, de là à rentrer chez les siens dès une heure tapante.

Athyla attendait là encore et encore, la nuit n'était pas prête de battre son plein ; il était trop tôt. Lorsque Princesse s'apprêtait à fermer les paupières, elle tournait la tête dès lors qu'une voix familière s'était faite entendre. Elle avait reconnu là le beau Sparrow qu'elle connaissait déjà de vue.

Bonsoir, Athyla.
Bonsoir ? Ah, mais j'oubliais : c'est en été que le soleil se couche tard. La chienne chocolat exquissait un large sourire au mâle, avant de lui chuchoter doucement.

Bonsoir, Sparrow.
Toujours aussi élégant, le chien n'avait pas besoin de se pouponner ; il était naturellement magnifique. Mais passons, la femelle se levait, puis saluais le quidam. Elle n'allait tout de même pas rester à sa place les bras croisés, impoli serait-il de sa part. Une fois la révérence faite, Athyla invita d'un signe de tête Sparrow à s'installer à côté d'elle. Ainsi, ils pourrait bavarder confortablement.

La jolie femelle me regarda et esquissa un sourire avant de me dire bonsoir de même. Elle se leva, décidément prête à faire une révérence à mon grade. Pourtant, je ne suis pas plus différent qu'elle. Les chiens gardent quand même un respect profond pour les supérieurs, mais nous ne sommes pas des bêtes sans coeurs, nous nous respectons les uns les autres, qu'on soit plus grands ou plus petits. La femelle fit un geste de la tête m'invitant à m'asseoir à côté d'elle, loin d'être impoli, j'appliqua son invitation. Roulant un peu sur moi même, je pris une bonne position pour rester là à parler, ou à rester muet, on ne sait jamais.

Tu sais, c'est inutile de t'abaisser devant moi, je ne suis pas plus important que les autres chiens de la meute.

Notre femelle tourna une fois de plus la tête ; Sparrow eut prononcé réponse. Elle tendait l'oreille, elle resta attentive.

Tu sais, c'est inutile de t'abaisser devant moi, je ne suis pas plus important que les autres chiens de la meute.

Immédiatement, Athyla s'empressait de corriger le mâle.

Je vous ai salué comme j'aurai salué toute autre personne. Votre rang m'importe peu ; ça n'est qu'un signe de politesse.
Princesse avait tout dit. Cela suffisait amplement pour faire comprendre son geste à Sparrow. Après tout, n'était qu'une révérence qu'avait incliné la chienne. La demoiselle était du genre à ne pas chercher le pourquoi du comment, et ne se posait pas de question. Elle fonçait vers l'impossible, sans doute à cause de son père, qui l'avait éduquée de telle façon. Encore, elle sourit à Monsieur, qui avait accepté son invitation. À présent, le chien était à côté d'elle. Athyla n'avait mot dire ; elle replaça son champ de vision vers le ciel. À la recherche de la lune.

La demoiselle plissait de plus en plus les paupières. À force d'attendre, et encore attendre, la femelle était fatiguée. Si bien qu'elle s'apprêta à fermer les yeux définitivement, bien que Sparrow l'interrompit dans ses gestes.

Dis moi, qu'elle est ton opinion sur les loups ?
J'haussai un sourcil ; la question n'était pas facile. Jamais on ne me l'avait posée auparavant. J'avais maintes avis concernant ces cabots sauvages, ils m'inspiraient les bêtes sadiques et méchantes avant ces rumeurs des militaires humains en route vers nos terres, que sont celles de Canidea Wireless. J'allai de là tout de même, répondre à son doute, quelque peu douteuse pour ma part aussi.

Tu sais, bien un jour arriverons-nous à nous allier, pour cause de ces militaires humains qui, prétend-on, reviennent dans le secteur.
Peut-être n'était-ce pas celà que le mâle cherchait à savoir, Princesse en songeait elle-même. Le regardant, puis soupirant, elle ajouta, desespérée.

Je ne sais pas.
L'air désolé, fi-fille reposa la tête sur ses antérieurs.

La jolie femelle haussa les sourcils et tenta tant bien que mal de répondre à ma question, que je savais difficile. Peut de chiens ont leurs opinions propres, généralement, elles sont influencées par tout ce que l'on raconte entre nous. Mais moi, j'ai la mienne, on ne sait jamais que Athyla aussi ait la sienne, non influencée de ces " on a dit ". Elle me regarda, les sourcils toujours froncés.

- Tu sais, bien un jour arriverons-nous à nous allier, pour cause de ces militaires humains qui, prétend-on, reviennent dans le secteur.

Cela ne réponds pas à ma question, mais sa réponse n'est pas si bête que ça, peut-être qu'un jour, qui sait, on sera forcé de s'allier, pour avoir un monde meilleur, mais cela reste une hypothèse absurde qu'elle a dû inventer sur le moment. Elle soupira en croisant mon regard, et dit pour se rattraper :

- Je ne sais pas.

Moi non plus je ne sais pas quoi penser sur eux, mais je suis sur qu'ils ne sont pas plus différents de nous, eux aussi doivent bien survivre ? Avec nous qui venons de nous introduire sur leurs territoires à cause de cette épidémie.

- Je suis désolé, ce n'était une question à poser.

Je suis désolé, ce n'était une question à poser.

Oh, le pauvre .. il n'avait pas à s'excuser. Manifestement, ce chien était un mâle fort poli et gentil. Lais, pour ratrapper Sparrow dans ses mots, Athyla enfilait à son tour quelques mots.

Tu n'as pas à être désolé. J'aime bien les mystères auquels on ne sait répondre.
Aussitôt, Athyla venait de trouver là un jeu amusant pour passer le temps : les énigmes. Oh oui, ces questions farfelues qui nous font creuser la tête pour simple chose. Au fait, Athyla ne tenait plus à rentrer chez elle, maintenant que Sparrow était avec elle. Ç'aurait mal fait si Madame avait prit la route, comme ça. En re-re-relevant la tête, elle re-re-resourit. Comme une lumière qui clignotait entre ses appareils oditifs, qu'étaients ses oreilles. Ni plus, ni moins, Athyla continua :

Aime-tu les énigmes ?

J'imagine que oui, je n'ai jamais vraiment essayé. Enfin, je ne sais pas, et toi ?
Il n'avait jamais essayé, mais il allait le faire dans très peu de temps. Athyla adorait jouer à cela, les énigmes plus ou moins folles. Tout en restant allongée, elle se rapprochait de lui en tirant sur ses pattes. En rampant, en gros. Elle le regarda, lui fit un clin d'œil et enfin, lui dit.

J'aime les énigmes. C'est pourquoi, pour passer le temps, j'aimerais partager ces devinettes avec toi.
Il était tôt encore, mais le ciel semblait s'assombrir. En fermant les yeux, Princesse réfléchit à quelle énigme farfelue poser au mâle. Elle en connaissait tellement, mais vivant seule, s'en faisait le problème à elle-même. En lui tapant amicalement l'épaule, elle lui dit, paisible :

Qui vole un œuf vole un ..

- J'aime les énigmes. C'est pourquoi, pour passer le temps, j'aimerais partager ces devinettes avec toi.

Grommelant intérieurement, je en savais ce qu'il allait se passer. Je l'a connaissais à peine, et nous avions déjà une conversation poussée. Je suis gentil, amical et protecteur, mais je n'ai jamais cherché à me faire des amis. Qui sait, c'est peut-être le moment. J'en aurai sans-doute besoin dans ma vie future. Affichant un sourire radieux à la demoiselle qui cherchait quoi dire, je remarquais qu'elle avait la manie de fermer les yeux quand elle réfléchissait. Admirant les contour de son visage chocolat, je me rendis compte, qu'Athyla était une chienne chocolat plus que mignonne. Mais je ne suis une loveur, d'ailleurs, mon coeur tourne pour Grape, qui restera la femelle qui m'a toujours fait tourner la tête, même si elle ne m'apprécie pas plus que ça. La chienne en face de moi me libéra de mes pensées en me parlant. Ce n'est quand secouant la tête pour chasser tout ça, que j'avais finis par voir que je la regardais depuis tout ce temps dans les yeux. Elle me tapota l'épaule.

- Qui vole un œuf vole un ..

- Boeuf Finis-je vite fait après qu'elle eux dit ça phrase. C'est une des énigmes les plus connues ici Rigolais-je.

Boeuf Finit le mâle vite fait après que Princesse eut dit sa phrase. C'est une des énigmes les plus connues ici.
Et il rigola. Athyla, souriante, aquiesca. Mais elle ne continua pas le passe-temps car, pendant que les deux zoives s'amusaient, la lune descendait doucement, afin de s'installer au milieu de ce grand ciel qui bientôt serait borné d'étoiles. Celles-ci venues quelques secondes plus tard, illuminèrent les yeux de la belle. On aurait juré que des lucioles scintillantes se baladaient devant les pupilles d'Athyla. Mais ces lucioles étaient en effet les étoiles, ces morceaux de soleil tombés du .. soleil. À croire que Sparrow était à côté d'elle, fi-fille fut plongée d'un sentiment bizarre. Même en ne connaissant que son prénom, elle éprouvait comme si elle le connaissait depuis des années. Partager un tel instant avec lui n'est pa normal, car lui est presque un inconnu pour la chienne. Mais elle, appréciant d'être avec le Waf, n'avait pas l'air de se soucier de cela. Elle observait les étoiles. Puis, regardant l'étendue d'herbe, elle découvrait que cette brume épaisse avait disparu ; ce qui laissait se présenter maintes et maintes espèces animales. La femelle, heureuse, soufflai au chien :

C'est magique ..

La femelle acquiesça, souriante. Sous la lune, elle avait l'air d'une princesse sortit d'un compte de fées. Mais je ne dois pas m'éloigner de la réalité, même si je ne suis pas un prince, je sais que je peux satisfaire une femelle. J'ai toujours pensé que Grape était à moi, mais Athyla est tellement belle sous le ciel. Elle avait portée son regard sur la voûte, des étoiles pétillaient dans ses yeux, ce n'est qu'en regardant également la voûte que je vis les étoiles, si belles, si brillantes à côté de la lune, qui elle, brillait de milles feux. Un sourire malin vint se porter sur mes lèvres. Je venais de penser que cette scène était plus que romantique, elle à côté de moi, sous les étoiles, seuls tous les deux. Une fois de plus, la jolie femelle tourna la tête, et s'émerveilla devant le spectacle qui s'offrait à nous, mais cette fois, par-terre. La brume n'était plus là, et nous permettait de voir ce qu'on avait pas la possibilité de voir en pleine journée. Grâce à la lumière éclatante de la lune, je pu voir quelques rongeurs qui venaient profiter de bouger à l'air libre avant de retourner dans la brume. Athyla semblait heureuse sur le moment, et s'approchant de mon oreille, elle murmura :

- C'est magique ..

Etonné, je ne mis pas plus de 10 secondes à lui répondre aussi près de son oreille :

- Pas plus que toi.

Pas plus que toi.
À ce moment là, le cœur de Princesse battait à 200 à l'heure, et plus encore. Regardant malicieusement le mâle, Athyla sourit, comme plus de 10 fois qu'elle l'avait fait. Étaient bien beaux ces deux là côte à côte, je dirais. Fi-fille n'avait jamais penser à ce que pouvait être l'âme sœur, ou même le prince charmant. Sparrow plaisait à Madame, et plus que tout il la charmait. Mais, la marge n'était pas assez haute, et le coup de foudre direct n'était point le meilleur. Un ou deux jours de plus ensemble, je l'accepterais. Malgré mes écrits, Athyla semble être attachée au Waf. Sous la lune, Sparrow lui aussi était radieux ; les rayons formant des auréoles sur son corps d'athlète, si je puis employer ce nom. Toujours souriante, et en s'approchant une nouvelle fois à l'oreille du chien, la belle murmura, cette fois-ci :

Parle pour toi ..

Après qu'Athyla ait parlé au mâle, celui-ci partait dans l'obsurité en bruitant un fantôme. Puis, se rapprochant de Princesse, il passait et se réloignait.

Ratrappe moi si tu peux ..
Aussitôt dit, la chienne se levait et se mettait à l'affut. Regardant partout aux environs, elle aboyait. Vu ! Madame avait repéré Sparrow, et directement elle s'élençait vers lui. C'était comme jouer au loup, car Athyla essayait de toucher le Waf. Cette fois je crois, que fi-fille était un peu attirée. Raa .. Je tombe raide devant les couples heureux, et aimerait voir celà de ces deux. Athyla, sautant sur Sparrow, rigolait, mais était essouflée. En se stoppant net, un flash eut lieu. Enfin, comme un flash. En retirant ses pattes de devant des épaules du Prince, elle avait les yeux rivés vers les siens. Plus un geste elle ne fit, maintenant. Le museau nez à nez avec celui de Sparrow.

Hum... Je ne sais que dire.

En fait, la demoiselle n'était pas essouflée. Elle avait juste le cœur qui ne cessait de battre comme certain engin lancé à 200 à l'heure. Comme je l'avais déjà dit, Madame n'avait jamais songé à l'amour ; se porter comme ça avec Sparrow la perturbait un peu, même si elle était comme ça volontairement. En chuchotant, elle répondit :

Ne dis rien ..

Puis, un sourire au lèvre, elle colla son front contre celui du mâle. Elle ne savait comment celui-ci allait réagir, mais le faisait quand même. C'était comme pour lui montrer qu'elle était tombée raide de lui, en gros. Tant elle était heureuse, Princesse agitait sa queue en tout sens, signe jovial pour un Waf. Maintenant, elle ne s'occupait plus de cette terre de brume, dite magique par ses paroles. Non, là, ce qui l'importait plus que tout était son Prince.

Pourquoi faisons-nous cela ?
Quelle question ! Athyla, intriguée, penchait la tête sur le côté, en ayant décollé son front de celui de Sparrow. Mais bon, Princesse aimait les mystères auxquels on ne sait répondre, comme elle l'avait dit déjà. Une fois de plus, ce fut encore la même phrase qu'elle ressortit.

Je ne sais pas.

Peut-être qu'à force de répéter celà, elle allait passer pour une chienne stupide ? Et lui aussi, pourquoi posait-il cette question ? La demoiselle ne lui plaisait pas ? Incertain. Mais Athyla, toujours interloquée, ne savait que dire. Elle aimait Sparrow, mais ce moment de doute la faisait stresser. Stresser, car elle pensait qu'elle était trop rapide. Ben merde alors. Elle trouve l'amour et voilà qu'elle se fait tant de soucis. Oui, c'est peut-être ceci. Peut-être qu'elle y est allé trop vite. N'ayant point connaissance du point de vue de Sparrow, elle ajoute :

Excuse-moi.

La jolie princesse décolla son front du miens, pendant un instant, j'aurai voulu crier pour qu'elle le remette, crier pour lui dire que cela m'apaise. Je l'ai surement blessée, peut-être croit-elle en un amour vite partir.

- Je ne sais pas.

Elle avait enlevée ses yeux des miens, regardant le sol, je voyais à sa respiration qu'elle était stressée. Je l'avais visiblement trahie en disant ça, peut-être s'était-elle faite vite de faux espoirs, pourtant, au fond de moi, je l'aime, et un monstre bouillonne me disant de retirer ce que je venais de dire.

- Excuse-moi.

- Chut.. Ne dis plus rien.

Me rapprochant de son visage, je remis mon front contre le siens. C'était fusionnel, je sentais nos deux coeurs battre à la même secondes. Nous étions synchronisés dans nos mouvements. Je n'avais pas remarqué, mais la lune commençais à descendre, la nuit était passée vite, mais c'est l'été, et les jours se rallonge, le soleil se lève tôt. Je n'avais pas dormis, mais malgré cela, j'étais content d'être aux côtés d'Athyla, qui j'espère, pensait la même chose.

À cet instant, Sparrow reposait son front sur celui d'Athyla. Maintenant, Princesse comprenait que ce qu'io avait dit là auparavant n'était qu'une simple question. Donc, l'on pouvait en conclure que la femelle n'avait pas été trop rapide. Aux ordres du mâle, la chienne ne dit plus un mot. Sa tête resta collée sur celle de Sparrow, son cœur battant. Athyla elle aussi n'avait pas dormi, et était de même contente d'être avec lui. Je pense que cette fois, l'amour est pur. Une sorte de Roméo et Juliette, si vous voulez. Mais eux peuvent se voir autant qu'ils le veulent. Pensant que le moment fut venu, fi-fille prit une grange bouffée d'aspiration ; elle déclara sa flamme, tout en plissant lentement les yeux.

" Je l’aime, je l’aime, je l’aime... "

- Je crois que je t'aime ..

Comme une flèche dans mon coeur, Athyla avait percé le miens. Elle avait cherchée mon amour, et elle l'avait trouvée. Je ne savais pas quoi dire sur le moment, même si cela était évident, moi aussi je l'aime, comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinémaaaaaa. Je n'avais pas assez de contrôle sur moi-même avec cet instant fusionnel pour lui dire cette phrase tant attendue. Prenant une bouffée d'air remplie de l'odeur savoureuse de la belle, je relevais la tête, conscient de déranger mademoiselle. Et plongeant mes grands yeux noirs dans les siens, la regardant avec attendrissement, je lui dis :

- Je t'aime.

je vis un petit sourire se former aux coins des lèvres de la jeune chienne, et au lieu de recoller mon front contre le siens, comme elle l'aura espérée, tout en regardant ses yeux, je lui lâcha le front, en signe d'affection. Tout mon amour allais pour elle. C'était un peu précipité, mais pourquoi faire attendre l'amour, je me le demande. Autant l'avouer, et le savourer, tant qu'il est encore brûlant.

Je t'aime.
C'est le bon. Elle n'a pas été trop rapide. C'est un instant de peur, d'angoisse, mais de joie à la fois. Elle n'aurait jamais cru ce moment lui arriver. Mais si, il est à la portée de ses pattes, juste en train de jouer son spectacle. L'amour c'est tellement beau, Athyla a su ouvrir son cœur grâce à Sparrow. La première fois qu'elle déclare sa flamme, et qu'on lui retourne les mots. Le prince retira son front de Princesse, en guise d'affection. Cela était bon geste. La jolie ferma ses yeux, et les rouvrit. Ce n'était pas un rêve, Madame était émerveillée. Maintenant, elle ne voyait que son amant, sa joie de vivre. Comme si elle était venue pour lui, et que cet instant magique, qu'interprète la brume, ne comptait pas. Avec des larmes aux n'œils, cette fois c'était le plus magnifique de ses sourires qu'elle prononçait sur ses lèvres. Le meilleur jour de sa vie, je crois, qui lui sera gravé comme un éternel souvenir...